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8 - Histoire de l'homme dans l'évolution

                   ... et de quelques autres animaux

Dans le 5ème article de notre Blog, nous avons examiné les principes de l’évolution du vivant : Tout organisme vivant est soumis, au cours de sa reproduction, à des événements aléatoires. Ces événements sont soit favorables soit défavorables à sa survie en fonction de leur adaptation à l’environnement.  Et l’environnement est lui-même soumis à des variations qui favorisent ou défavorisent  la survie des organismes vivants.

C’est une tache ambitieuse  que de vouloir retracer l’histoire d’une vie qui, apparue il y a plus de 4 milliards d’années a produit les humains que nous sommes. Nos connaissances sont partielles, toujours révisables. Mais plus nous progressons dans la connaissance, plus nous nous éloignions des explications purement imaginaires de la religion ou de la mythologie.

Nous avions évoqué, à l’article 2, l’histoire de l’apparition de la vie. Nous nous efforcerons de connaître son évolution, jusqu’aux formes animales les plus élaborées  des hominidés et de l’homme lui-même.

L'expansion de la vie

 

Quelques jalons (incomplets)

 

- 4 milliards d'années : les océans grouillent de bactéries, cellules procaryotes, [1]

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- Il y a 550 millions d'années, les premières populations de vivants multicellulaires peuplaient les océans. Les scientifiques les ont appelés la "faune d'Ediacara". Elle était constituée de corps mous, en forme de feuilles ou de tubes. Les sédiments ont révélé leur présence, qui se serait établie sur quelque 30 millions d'années. Et tous les sites sédimentaires indiquent que cette faune a presque totalement disparu il y a 542 millions d'années, alors que des analyses ne montrent aucune perturbation de l'environnement. Une hypothèse a été développée par Marc Laflamme, paléontologue de l'université de Toronto. Hypothèse à laquelle plusieurs scientifiques se sont ralliés : dans une population presque immobile, des vers, devenus prédateurs,  auraient créé des galeries dans le sol, déstabilisant le sol sur lequel reposaient les autres vivants, raréfiant les nutriments, et détruisant les autres espèces.

"Il y a une forte analogie entre la première extinction de masse de la Terre et ce qui se passe aujourd'hui. L'extinction de la faune Ediacara montre que l'évolution de nouveaux comportements peut fondamentalement changer l'ensemble de la planète, et nous (les humains) sommes pour les écosystèmes les ordonnateurs les plus puissants jamais connus"[6].

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- 540 millions d'années : apparition des animaux à squelette externe

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-440 millions d'années : première extinction de masse, qui touche principalement les brachiopodes[2] et les trilobites.[3] Les plantes commencent à coloniser le sol.

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-420 millions d'années, des vertébrés peuplent les océans. Nombreux types de poissons, presque tous disparus, sauf le fameux cœlacanthe.

 

Les vendobiotes d'Édiacara en images

                    (reconstitution)

trilobite

Fossile de briachopode

-410 millions d'années, les premiers animaux se déplacent sur le sol : arthropodes (famille des scorpions), des acariens, des myriapodes et d'autres insectes.

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-370 millions d'années : le squelette de certains poissons rigidifie les nageoires pour en faire un début de pattes.

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-365 millions d'années : deuxième extinction de masse. de nombreux ammonoïdes, brachiopodes et poissons disparaissent.

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-360 millions d'années : des sortes de reptiles se déplacent sur les terres émergées.

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-250 millions d'années : troisième extinction de masse. 90% des espèces auraient été éliminées. Pendant environ 20 millions d'années, la terre est presque stérile et toxique. Seules quelques espèces de petits reptiles résistent et deviendront les dinosaures

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-230 millions d'années : les espèces de dinosaures se développent. Parmi eux, des mammaliens donneront naissance aux premiers mammifères.

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-200 millions d'années : quatrième extinction de masse, due à une baisse des eaux, à des explosions volcaniques et peut-être à une météorite. Beaucoup d'espèces disparaissent à l'exception de quelques mammaliens. L'écartement des continents favorise la séparation et l'évolution différente des espèces. La moitié de la diversité biologique disparaît. Mais cette crise laisse la place aux dinosaures, qui vont s'imposer sur terre.

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- 65 millions d'années : cinquième extension de masse.

Causes supposées: activité volcanique, météorite, épidémie fulgurante, intoxication par de nouvelles plantes, refroidissement. Les poussières soulevées voilent le ciel et arrêtent les rayons lumineux . C'est une gigantesque catastrophe, qui tue la majorité des espèces. On n'a aucune certitude sur l'origine réelle de l'extinction. 60 à 80% des espèces disparaissent. Les dinosaures font partie des victimes.

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Actuellement : sixième extinction de masse. Elle commence (tout doucement et s'accélère) il y a environ 200.000 ans avec l'apparition de l'homme, dont les facultés de destruction ne font que croître avec le temps. Ça commence avec la chasse pour laquelle l'homme augmente sa capacité destructrice par rapport aux autres animaux. En quelques siècles, l'homme domine de plus en plus les autres vivants en perfectionnant ses moyens de détruire : de l'arc, on passe aux armes à feu, aux bombes explosives, à la bombe atomique.

L'exploitation industrielle de la pêche bouleverse complètement l'équilibre des océans. La surpêche fait disparaître les grands prédateurs tels que requins et thons. Elle anéantit aussi les tortues et les petits poissons pélagiques [4]. Conséquences: Prolifération des méduses, qui n'ont plus de prédateurs. Les petits poissons qui mangeaient les œufs et les larves de méduse ont disparu. Celles qui étaient les proies des poissons deviennent à leur tour prédateurs. En dominant l'espace marin, elles mangent les larves de poisson.

"En Namibie, les quelque 10 millions de tonnes de sardines dans les années 1960 ont laissé place à 12 millions de tonnes de méduses."[5]

 

Parallèlement, l'homme détruit de plus en plus les conditions de vie par la pollution, l'exploitation des ressources biologiques actuelles et fossiles. Cette extinction pourrait bien être la dernière.

Nota : on peut trouver des variations sur les dates d'extinction massive, selon les sources et selon les révisions du moment.

 

Histoire de l'humanité

les origines de l'homme

 

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 Les premiers hominidés ne datent que de 7 millions d'années.

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Et notre ancêtre homo sapiens est apparu très récemment (par rapport à la chronologie  de la vie), environ 200 000 ans.

D'autres hommes sont apparus et ont parfois cohabité. À ce jour et selon les spécialistes, on en dénombre entre 7 et 15 espèces. C'est l'étude de la morphologie (d'un squelette, d'une mâchoire, d'un crâne) et surtout l'ADN des fossiles, quand c'est possible, qui permet, par comparaison avec notre propre ADN, de dire que tel fossile appartient à une espèce humaine.

Il y a peu on ne connaissait que l'homme de Neandertal et l'homo sapiens dont nous sommes les descendants. C'est en 2003 que l'on découvre l'Homo floresiensis, dans une île de la grotte de Flores, en Indonésie : un petit bonhomme d'environ 1 mètre.

L'homme de Néandertal aurait vécu entre 250 000 et 28 000 ans avant aujourd'hui. Son apparition est donc antérieure à la nôtre. Et il est possible que notre espèce soit pour quelque chose dans sa disparition. Il avait déjà une riche culture, marquée par l'enterrement des morts, la fabrique d'outils, une expression artistique. Il a cohabité un certain temps avec nos ancêtres et, sans doute, quelques croisements ont eu lieu entre eux et les êtres humains d'Eurasie. une infime partie du génome humain provient de celui des Néandertaliens

Australopithèque - 3,4 millions d'années

La fameuse Lucy – crâne et reconstitution

Les laboratoires de paléogénétique Max Plank, en Allemagne, ont réussi à lire le génome de l'homme de Neandertal (dans des conditions techniques difficiles sur des ossements  retrouvés).

L'étude sur les populations d'Europe et d'Asie a montré qu'il y a bien eu hybridation entre les deux espèces. Le taux d'ADN d'origine néanderthalienne en chacun de nous est de l'ordre de 1 à 3%. On ne retrouve pas trace de l'ADN Neandertal dans  les populations africaines, ce qui signifie que le croisement s'est opéré avec tous les premiers hommes émigrés depuis l'Afrique.

Les découvertes, d'année en année,  modifient sans cesse nos connaissances. L'une des plus récentes date de mars 2011. L’équipe de Yohannes Haile-Selassie [7] a découvert les ossements d'un australopithèque en Ethiopie, vieux de 3,4 millions d'années. Cette découverte complique la connaissance que nous avions des hominidés, car elle confirme qu'il y avait à la même époque, plusieurs espèces d'hominidés vivant en Afrique de l'Est, dont Lucy, découverte par Yves Copens, en 1974, et qui, à l'époque de sa découverte, était le plus ancien australopithèque connu.

Néandertal - 250.000 ans

L’homme de Neandertal (reconstitution)

On sait maintenant que l'homo sapiens n'est pas radicalement différent des autres espèces d'hominidés.

Il y a un peu plus de 20 ans, on pensait que, entre l'ancêtre commun aux singes et aux hommes,  il n'y avait que trois genres d'hominidés. On en connaît au moins sept aujourd'hui.

Il serait présomptueux d'établir une généalogie précise de l'homo sapiens, dont nous descendons, et, parallèlement, de tous les singes anthropomorphes actuels, nos cousins plus ou moins éloignés. Presque chaque année, de nouvelles découvertes viennent compléter le puzzle de cette généalogie. Mais les pièces manquantes ne permettent pas d'établir un arbre généalogique complet. Cependant, en moins d'une décennie, le regard sur les hominidés de la préhistoire a changé. En particulier, certaines particularités que l'on attribuait exclusivement à l'homo sapiens, la fabrication d'outils, le langage, les arts, l'enterrement des morts,  se retrouvent à des degrés divers chez de nombreux hominidés.

Homo sapiens                    Néandertal

Malgré ses capacités exceptionnelles, l'homme reste un animal.

Si l'on peut hésiter à distinguer la plante de l'animal, chez certains êtres vivants, l'hésitation - à moins qu'elle soit inspirée par des motifs religieux - est moins grande quand on compare l'homme et l'animal. Tout simplement parce que l'homme est un animal. Certes doué de capacités bien supérieures dans le règne animal, en raison de l'évolution neurologique de son cerveau, mais très proche des autres animaux dont il est le cousin lointain, les singes. Certains n'hésitent pas à dire que l'homme est un singe, le plus évolué des singes. Le volume du cerveau n'est pas un critère d'intelligence. Le cerveau de l'homme de Neandertal était plus volumineux que celui de l'homo sapiens actuel, entre 1500 et 1750 cm³. Le cerveau de l'homo sapiens a diminué de volume en 30 000 ans, passant de 1500 à 1359 cm³. Le chimpanzé, notre plus proche cousin, a un cerveau trois fois moins volumineux que celui de l'homme. Mais, ce qui distingue le cerveau de l'homme, et qui lui donne une capacité supérieure, c'est sa grande malléabilité, sa capacité à établir en permanence de nouvelles connexions neuronales

D'autres espèces d'hominidés ont été découvertes. Elles  ont eu une carrière plus ou moins longue dans l'histoire (homo ergaster, homo georgicus, homo antecessor, homo rhodesiensis, homme de Flores). Ce ne sont probablement pas les derniers hominidés à découvrir. Et le classement est en constante révision.

L'une des dernières découvertes les plus intéressantes est celle qui a été faite en Géorgie (Russie), en 2008, dans la grotte de Desinova, où 5 crânes, bien conservés, ont été exhumés et étudiés à partir de 1991. Ces crânes présentent les particularités de toutes les premières espèces humaines, plusieurs millions d'années avant l'arrivée de notre espèce, homo sapiens. Ces découvertes brouillent les pistes des connaissances que l'on croyait avoir établies sur les divers types d'hominidés. Le séquençage de l'ADN de l'homme de Desinova indique qu'il n'était ni un Néandertalien ni un homme moderne. À l'époque où des homos sapiens et des néanderthaliens vivaient en Sibérie, l'homme de Desinova représenterait une troisième espèce humaine

Le tableau ci-après est très incomplet, et ne vise qu'à donner une approximation de l'existence des hominidés, de leurs capacités et de leurs relations avec le dernier arrivé, l'homo sapiens.

Notez, dans ce tableau, que Homo Sapiens, dernier arrivé, est cependant contemporain de son aîné, Néandertal.

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Remarque importante pour ce tableau :

La longueur des segments n’est pas directement proportionnelle au temps. Ainsi l’australopithèque a vécu environ 2 millions d’années, alors que l’homo sapiens n’a que 200 000 ans.

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Comment on arrive à dater les restes d’organisme vivant ? 

- On mesure l'activité radiologique du carbone 14, qui est un isotope du carbone. Le carbone 14 se trouve dans tout organisme vivant, mais son activité décroît de façon exponentielle et connue après la mort du vivant.[8]

CORRECTIF IMPORTANT en date du 8-06-2017

 

Des découvertes au Maroc, de 5 individus de type sapiens ont permis de dater leur existence de – 315 000 ans. Il semble bien que l’humanité soit née en Afrique, mais les spécialistes renoncent à localiser précisément cette naissance. C’est sans doute à plusieurs endroits de ce continent que seraient apparus nos ancêtres.  A ce jour, les recherches paléontologiques ne portent que sur des régions très limitées.

L’apparition de l’homo sapiens serait donc plus ancienne d’environ 100 0000 mille ans. Ce qui fait de lui un contemporain plus ancien de Neandertal.

Beaucoup reste à découvrir.

Voir le remarquable article du Monde du 7-06-2017

Voyons quelques-unes des caractéristiques de l'homo sapiens que l'on retrouve chez quelques-uns des hominidés connus:

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- La bipédie : on la trouve chez tous les hominidés connus

- l'art :les premières traces datent d'il y a 3 millions d'années, chez Neandertal, Homo erectus, Australopithèque. Galets gravés, coquilles perforées ou peintes, parures établies avec des dents perforées ou des coquillages. Toutes ces activités artistiques ont été pratiquées avant et pendant sapiens. Elles témoignent d'une pensée symbolique qui va au-delà de la simple subsistance.

- la maîtrise du feu : la datation de la maîtrise du feu fait encore débat. Une étude (avril 2012) sur des éléments découverts dans la grotte Wonderwerk, en Afrique du Sud, indiquerait que cette maîtrise remonterait à un million d'années. On a trouvé des foyers indiquant qu'ils avaient été réalisés pour de la cuisson. Mais les interprétations sont encore discutées.

- L'apparition du sacré : En remontant dans le temps, avant l'apparition de l'homo sapiens, on trouve toujours plus de traces de sépultures funéraires. Homo Heidelbergensis pourrait être le tout premier hominidé à avoir enterré les morts, il y a 400 000 ans. Neandertal a pratiqué l'enterrement des morts, il y a plus de 80 000 ans.

- Les outils :  La première trace d'outils remonte à 3,4 millions d'années et concerne des australopithèques. Mais des outils proprement dits ont été trouvés au Kenya  et en Ethiopie. Ce sont des galets taillés par homo habilis,  et datant de plus de 2,6 millions d'années. Homo erectus inventera le biface, et lui donnera plusieurs formes et plusieurs utilisations. Cette véritable industrie lithique date de plus de 2,3 millions d'années.

Sépulture Néandertal – 45 000 ans

Grotte Chauvet – 36 à 37 mille ans

- L'émergence du langage : C'est presque une banalité que de dire que les animaux ont un langage. Les éthologues comprennent de plus en plus le langage des grands singes, des dauphins, des oiseaux, etc. Mais la particularité du langage humain repose - pour l'essentiel - sur les capacités phonatoires de son larynx. Or, aucun animal, même ceux qui nous sont les plus proches, n'a les moyens physiologiques et cérébraux correspondants pour développer un langage aussi complexe que celui des humains. Et pourtant  si - bien entendu - on ne peut entendre le langage des hominidés qui nous ont précédés, on dispose de deux méthodes permettant de supposer le langage de nos prédécesseurs hominidés, l'examen de l'anatomie du pharynx et la génétique, applicable depuis 2010 à Neandertal, dont on a réussi à séquencer l'ADN. On a trouvé  chez Homo heidelbergensis (vers les 500 000 ans) et chez Neandertal, l'os hyoïde, qui lié au pharynx est impliqué dans le contrôle de la voix. Avec l'homo sapiens, on aurait donc trois hominidés équipés pour la parole. Par ailleurs, on a trouvé dans l'ADN de Neandertal certains gènes impliqués, pour Sapiens, dans la parole (le plus important étant le FOXP2). On n'a certes pas établi l'ADN de Heidelbergensis, mais comme il s'agit d'un ancêtre commun à  Neandertal et à Sapiens, on peut supposer qu'il en était lui aussi équipé.

Comme partout dans le domaine de la préhistoire, les hypothèses foisonnent, et ne sont pas des certitudes. Mais c'est en reliant les hypothèses et en progressant dans la recherche que l'on précise de plus en plus ses connaissances. Et le champ des recherches est loin d'être clos.

La diversité humaine

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Le racisme a une longue histoire. Mais c'est surtout au 20ème siècle qu'il s'est développé en actions criminelles . Reprenant les théories racistes de certains "scientifiques", Hitler écrit "Mein Kempf" dans lequel il développe son idéologie raciste qui le conduira où l'on sait. En matière de racisme, les Français ne sont pas en reste (Gobineau,Drumont... )

Si une espèce se définit comme un ensemble d'individus capables de se reproduire entre eux, et dont les descendants sont fertiles, alors il y a bien UNE espèce humaine, l'infertilité occasionnelle n'étant pas liée à l'incompatibilité entre divers groupes humains, mais à des causes isolées et accidentelles.

Pour combattre le racisme, biologistes et généticiens montrent depuis 50 ans qu'il n'y a qu'une seule espèce humaine. Leur affirmation s'appuie sur le séquençage du génome humain. La découverte de l'ADN est devenu un instrument anti-raciste. Les différences apparentes, couleur de la peau, couleur des yeux, taille, etc. n'étaient vues que comme des variantes de la même espèce. Cependant, les techniques de lecture du génome ont progressé et ont mis en relief une grande diversité entre les groupes humains. La diversité est une richesse. Elle correspond aux diverses adaptations des groupes humains à leur environnement.

Il apparaît certain que l'Afrique est le berceau de l'humanité. Depuis l'Afrique, l'humanité a colonisé la planète. À chaque migration, des modifications du génome permettent l'adaptation au milieu. Et puis des rencontres se font entre divers groupes. Si bien que chaque humain est le métis d'ascendants divers, qui ne sont pas les mêmes pour chacun.

La connaissance de ces différences permet - en particulier - de mettre en évidence des maladies différentes selon les groupes humains, et qui, donc, nécessitent des traitements différents.

 

Citations du texte

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[1] procaryotes, c'est-à-dire, monocellulaires. Les procaryotes ont leur ADN dans le cytoplasme de la cellule.

Les eucaryotes ont un noyau qui contient l'ADN

[2] Ils ont une coquille et deux valves.

[3] Ils ont 3 parties arrondies. Plus de quinze mille espèces de trilobites, dont on a retrouvé les fossiles. Ils ont totalement disparu.

[4] Qui vivent ailleurs qu'au bord des côtes ou des fonds marins,  dans des eaux proches de la surface, ou entre la surface et le fond : hareng, sardines, maquereau, thon

[5] Source IRD, Institut de Recherche pour le Développement.

[6]    https://www.sciencedaily.com/releases/2015/09/150902123456.htm

[7] Muséum d’histoire naturelle de Cleveland, université Case Western Reserve.

[8] Les isotopes sont des atomes qui possèdent le même nombre d'électrons – et donc de protons, pour rester neutre -, mais un nombre différent de neutrons.

Le 17  novembre 2016

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