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des musulmans déboussolés

Haram et allal.

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   Les musulmans qui vivent dans les pays occidentaux sont soumis aux mêmes règles de respect de la loi que les autres citoyens. Ce qui est permis dans les pays gouvernés par l’islam (polygamie par exemple) ne l’est pas nécessairement dans les pays démocratiques. Et même, certains pays comme la Tunisie, le Maroc ou l’Algérie ont adopté une législation grandement inspirée des pays démocratiques, qui, de fait, restreignent ce que la loi islamique permet ou impose en Arabie Saoudite par exemple.

Néanmoins, une bonne partie de la population musulmane de nos pays reste sous l’influence des imams, ayatollahs, prédicateurs improvisés, « savants ». Il suffit pour s’en persuader de taper sur un site de recherche « Islam », suivi de sujets aussi graves que nourriture, vêtements (surtout féminins), chiens, épilation etc. Et vous aurez toujours une réponse impérative basée sur le Coran, quelque hadith ou « d’après les savants ».

   Les prescriptions normatives que l’on trouve dans les hadiths, qui sont répétées ou amplifiées par ceux qui s’arrogent une autorité morale basée uniquement sur des interdits, sont génératrices de TOC, « troubles obsessionnels compulsifs » : Un comportement répétitif, d’une portée collective, sans justification rationnelle.

« Névrose caractérisée par des obsessions associées à des rituels (compulsions) de conjuration de ces obsessions ». (Larousse médical)

   Est-ce que j’urine dans la bonne direction ? Les photos familiales sont-elles interdites ? Mon voile cache-t-il bien mes cheveux ? Est-ce que je ne reste pas trop longtemps dans les toilettes ? Est-ce que je peux me faire un chignon ? Ce que je mange n’aurait-il pas été contaminé par la proximité d’une viande interdite ? Le médicament que je prends ne contient-il pas de faibles doses d’alcool ? Même chose pour le savon ….

La liste n’est jamais close, et il suffit de parcourir les sites musulmans pour détecter de véritables obsessions, qui n’ont aucun rapport avec la santé ou le simple bon sens, et qui se réfèrent toujours au Coran, à quelque mystérieux hadith, ou aux interprétations fantaisistes de tel ou tel « savant ».

Un TOC collectif ?

   La conduite du musulman, que ce soit vis-à-vis de son entourage, ou que ce soit dans les gestes de la vie quotidienne n’est pas d’abord dictée par le bon sens ou sa conscience morale, mais par un ensemble à la fois considérable et imprécis d’interdits et d’obligations. La notion de « haram » est une des plus irrationnelles, et j’ose dire, des plus absurdesi, car elle crée un conditionnement mental qui contraint le fidèle à chercher en permanence ailleurs qu’en lui-même les motivations de ses actes les plus importants comme les plus banals. Et ailleurs, il n’y a jamais de justifications. Notre  société civile ordinaire est pleine d’interdits, mais ils sont toujours fondés sur des raisons basées sur la coexistence des citoyens ou la préservation de la santé individuelle et collective. Exemple : interdiction de l’alcool au volant, interdiction des déjections canines sur la voie publique. En revanche, en islam, il sera difficile de justifier l’interdiction de consommer certaines viandes, ou même certains médicaments qui auraient de faibles doses d’alcool

   Exemple islamique : dormir sur le ventre est haram. Faire pipi debout (selon certains « savants ») est haram. Les instruments de musique sont haram. De même, les chiens à la maison, manger de la main gauche, l’alcool, le porc etc. La liste n’est jamais exhaustive. A tel point que pour la moindre action, le fidèle doit se demander si ce qu’il fait, consomme, est haram. Ne parlez pas de préoccupation de santé, elle n’est pas prioritaire.Et lorsque certains se lancent dans des explicationsqui se voudraient rationnelles sur les interdits, on asiste à des élucubrations invraisemblables. On trouvera sur internet de longues considérations sur les produits, notamment les médicaments, qui auraient quelques affinités avec l’alcool ou des origines animales. A l’origine, le prophète interdisait l’alcool pour ses combattants. Se battre quand on est saoul n’est pas recommandé. Mais il y a pas de risque que le peu d’alcool qui serait dans un médicament cause une ébriété. La crainte de l’alcool ou du porc est totalement irrationnelle

les musulmans ordinaires de tous les jours

 

   La diversité est très grande chez les musulmans contemporains, selon le courant religieux et selon les pays. Une diversité qui va jusqu'à l'affrontement sanglant entre sunnites et chiites. L'Etat islamique, d'origine salafiste agresse mortellement à peu près toutes les autres tendances musulmanes, ceux qui ne pensent pas comme eux et n'agissent pas comme eux étant qualifiés de "mécréants".

   L'un des thèmes favoris de l'islam, c'est l'imitation du prophète. Imiter un ancien petit chef de tribu, dont les ambitions territoriales ont été couronnées de succès, jusqu'à ce que le monde chrétien, d'abord assez passif et même idéologiquement hostile à la guerre, réagisse et devienne à son tour porteur d'une guerre sainte pour la reconquête des territoires perdus. Les mœurs et la morale de Mahomet étaient ceux de la culture bédouine de son époque. Encore faut-il ajouter que Mahomet a apporté des progrès à cette morale. Il interdit l'infanticide des filles, une pratique courante dans une région de pauvreté et de disette. Il limite la polygamie à quatre femmes. Il accorde à la femme qui n'avait aucun droit d'héritage un droit partiel. L'esclavage fait partie, comme ailleurs dans le monde de la culture musulmane.

   L'imitation d'un personnage ayant vécu il y a plusieurs siècles, dans des conditions de société et de culture très éloignées de la nôtre, est une aberration.  En définitive, Mahomet était beaucoup plus opportuniste et beaucoup plus créatif que ceux qui actuellement se réclament de lui pour appliquer des mœurs, une  morale d'un autre temps. Pour certains, imiter Mahomet, c'est - par exemple - se coucher sur le côté droit. "Il est toutefois permis de se coucher sur son côté gauche, mais l’on perd dans ce cas la récompense réservée à ceux qui se conforment à la Sunna. Allah le sait mieux."[1] (C'est vraiment n'importe quoi !)

Marché aux esclaves

- 13ème siècle.

   Certaines femmes musulmanes réclameraient le droit de porter le voile, d'obéir à leur mari, et de lui demander la permission pour sortir de la maison. On sait que ça fait plaisir à Dieu, (en tout cas à ceux qui se disent inspirés par lui) dont les soucis vestimentaires et alimentaires doivent être respectés. Elles en ont effectivement le droit. Chacun trouve son bonheur où il peut. Mais de là à les encourager ... Dans les pays gouvernés par l'islam, le voile ou pire, la burqa est obligatoire. Il est manifestement le signe de l'inégalité entre hommes et femmes. Porter des vêtements non prescrits c'est se rebeller contre le pouvoir des hommes et la faute est sanctionnée. Y-a-t-il d'autres motivations pour cette obligation, qui, selon des "savants", n'apparaît pas dans le Coran ? Il est alors difficile de comprendre pourquoi porter volontairement le vêtement de la ségrégation serait un signe  d'émancipation et de liberté.

Les islamistes et le Coran

 

   La religion impose un type de morale, exprimée par des permissions et des interdits. Surtout des interdits. Cette morale du permis et du défendu dispense le fidèle de prendre ses propres responsabilités. Le jugement moral se limite à vérifier que les interdits ont bien été respectés, sans se soucier du bien-fondé des prescriptions, puisque c'est Dieu, par la voix de ses représentants qui impose ses interdits.

   Les comportements et les prescriptions des islamistes actuels n'ont pas été inventés récemment. Ils trouvent leur source dans les premières conquêtes du prophète et de ses successeurs. On a la confirmation, par divers hadiths, des méthodes des conquérants pratiquées sur les pays conquis. Après chaque razzia, on tuait les hommes (décapitation), on s'appropriait et on se partageait tous les biens, et parmi ces biens, les femmes et les petites filles, considérées comme de simples objets, devenues esclaves sexuelles. Les vieilles femmes, sans valeur marchande, étaient tuées.

   Un document de l'Etat Islamique, sous forme de questions et réponses, a été publié, en novembre 2014, au sujet des esclaves et des captives : Des rapports sexuels avec des esclaves non-musulmanes, y compris de très jeunes filles sont permis. On peut également les battre et en faire commerce. Conformément aux tendances légalistes des islamistes, ce texte est plein de permis et de défendus, pour le meilleur usage du pénis musulman. Des femmes et des jeunes filles yézidies qui ont réussi à s'échapper, ont été interrogées par Human Rights Watch. Elles racontent les viols, violences sexuelles, mariages forcés qu'elles ont subis.

   Une liste établissant le prix des esclaves de Daesh a été publiée en novembre 2015. Une enquête de l'ONU l'a authentifiée : 150 € la fillette de 9 ans, 40 € la femme de 40 ans

   Pour une bonne part des ayatollahs et autres responsables musulmans, le viol des non musulmans est autorisé. Ainsi, le grand ayatollah Ahmad al Baghdadi, leader religieux chiite d’Irak, s’est exprimé sans aucune hypocrisie. Il a clairement expliqué que l’islam et le reste du monde ne pourront jamais coexister pacifiquement. Et le viol des femmes non musulmanes est autorisé. L'État islamique a fait du viol et de l'esclavage sexuel une pratique conforme à la charia.[2]

   Ahmad Al-Baghdadi s'est exprimé clairement dans une interview télévisée, diffusée sur Al Arabiya TV à Dubai le 18 août 2004 [3]. Il préconise :

   - un jihad « défensif » : de nombreux pays sont à reconquérir, parce que occupés par des infidèles: Israël, mais aussi  des pays européens. Ceux qui, conquis par la colonisation musulmane, se sont autrefois libérés du joug islamiste, Portugal, Espagne, Hongrie, République Tchèque, Slovaquie, Grèce, une partie de la Russie, Ukraine, Roumanie, Arménie,  Géorgie, Crête et Chypre. Une liste sur une carte établie par l'Etat islamique, révèle des projets pour les 5 ans à venir.

   - un  jihad « offensif », qui a forgé au cours des siècles le monde musulman. "Si les circonstances le permettent et s’ils se sentent suffisamment forts, les musulmans doivent mener le jihad offensif et conquérir les non-musulmans. "

"Le vrai islam autorise le viol des femmes et la destruction des églises"

   À la fin de l'année 2012, Ahmad Al-Baghdadi a émis une fatwa proclamant que le christianisme ne peut être toléré en Irak. En 2015, il a déclaré : "Pour les gens du livre (chrétiens et juifs), nous exigeons d'eux la jizya (impôt des non-musulmans), et s'ils refusent, nous les combattons. Un chrétien a 3 choix: se convertir à l'islam ou payer la jizya. Et s'ils refusent, nous les combattons, nous enlevons leurs femmes, nous détruisons leurs églises. C'est ça l'islam". Un islam capable de conquérir l'"âme des hommes" comme aurait dit Mahomet ?

   La pédophilie est une pratique admise par plusieurs autorités musulmanes. Elle trouverait sa justification dans la vie de Mahomet lui-même. Dans la sunna, on rapporte que Mahomet (54 ans) a épousé Aïcha, la fille de son ami Abou Bakr quand elle a eu 6 ans, il a abusé d’elle sexuellement jusqu’à l’âge de 9 ans et a pratiqué le coït sur elle par la suite

   On se rappelle l'ayatollah  Khomeini et sa fatwa visant à assassiner Salman Rushdie. [4] Il a écrit Le Petit livre Vert dans lequel il condamne, prescrit, appelle au meurtre, donne des conseils pour une conformité avec la charia.

   " Si un homme  qui  a  épousé  une   fille impubère la possède avant ses neuf ans révolus et provoque chez elle des traumatismes, il n'a pas le droit de répéter l'acte avec celle-ci".

   Dans la fatwa 12, publiée sur le site officiel du Guide suprême Ali Khamenei, en Iran,  Khomeini précisait sa pensée - "L'accouplement avec l’épouse n’est pas admis avant qu’elle ait atteint 9 ans, que le coït soit continu ou interrompu. Quant aux autres plaisirs courants, tels que les attouchements lascifs, les étreintes et l’action de frotter le pénis entre les cuisses, il n’y a pas de mal à les pratiquer même avec les nourrissons." Puis il entre dans les détails anatomiques des traumatismes possibles . Sollicitude pour l'enfant martyr que le pervers est autorisé à utiliser pour ses jeux sexuels? [5] On imagine sans peine les traumatismes et les douleurs physiques très graves imposés à une petite fille violée de façon répétitive, jusqu'à provoquer des lésions importantes,  pour satisfaire les désirs sexuels de son "mari".

 

   Si la sodomie est interdite entre adultes, elle devient permise sur des enfants, avant 9 ans. Une simple différence de culture, ou quelque chose de beaucoup plus inquiétant ?

   Que cette fatwa soit encore affichée sur le site du Guide Suprême d'Iran la rend toujours d'actualité. Alors, certains diront, comme pour Daesh, que l'islam ce n'est pas çà. Préciser ce qu'est le "vrai" islam, par rapport à celui de Daesh ou de Khomeini devient urgent, si on veut comprendre quelque chose. Mais c'est quoi, le vrai islam ? Si l'on se réfère au Coran et à la Sunna, l'islam de l'Etat islamique est  en parfaite compatibilité avec une tradition de plusieurs siècles, qui a commencé avec le prophète lui-même, pratiquant les razzias, l'esclavage sexuel, le meurtre des "mécréants".

   Le mariage, dans un islam qui trouve sa source dans le Coran et la Sunna eux-mêmes, n'est pas conçu comme un échange entre deux adultes consentants, mais comme l'appropriation par l'homme de la personne qu'il épouse. C'est tellement vrai que, encore de nos jours, un homme, dans un pays islamique, peut s'approprier une petite fille d'âge inférieur à 9 ans pour en faire un objet sexuel. Difficile de dire que dans nos pays démocratique, la femme musulmane soit libre. 

   Femmes musulmanes, révoltez-vous !

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  Il y a en Islam une véritable obsession sur la sexualité du mâle, pour laquelle on peut sacrifier bien des principes simplement humains. À l'intérieur d'une morale et de prescriptions contraignantes et parfois stupides se glissent, pour le mâle musulman tout un champ de jouissances sexuelles que la morale la plus universelle réprouve. Mais qui reste conforme aux "Droits de l'homme" publiés au Caire, par l'OCI (Organisation de la coopération islamique), puisque tous les articles de cette publication font mention des Droits "conformes à la Charia"

La place de l'islam confronté aux valeurs de la République.

 

   Au-delà des événements criminels perpétrés au nom d'une religion, on doit s'interroger sur la place de l'islam en France, la deuxième religion en France, dit-on. On s'inquiète de l'influence du salafisme, branche la plus extrême de la religion musulmane, et qui aurait une implication dans la modification des comportements des Français musulmans. Les premières générations d'immigrés, originaires du Maghreb, dans les années 50, n'avaient pas le comportement de leurs  enfants et petits-enfants. Ce qui ne signifie pas qu'ils étaient assimilés dans une France plutôt raciste. Bien souvent, ces parents de première génération ne comprennent pas l'attitude de certains de leurs enfants, qui deviennent assidus à la prière, se nourrissent des prêches d'Imams condamnant la musique, la mixité et toutes valeurs jugées contraires à la charia. Ces imans, généralement jeunes, barbus et autoproclamés ont la capacité de connaître ce qui est permis et ce qui est défendu (haram). Et leurs discours toujours très péremptoires sont d'une rare bêtise. À côté, les prédictions des voyantes extra lucides sont des monuments d'intelligence. Lorsque le prophète a créé sa religion, il s'adressait à des populations pauvres et incultes de nomades. La plupart des interdits qu'il imposait avaient une origine hygiénique qui ne se justifie plus. Mais il ne faut pas se poser de questions sur le pourquoi des interdits. C'est déjà manifester un doute envers la parole de Dieu. J'ai écouté plusieurs fois ces prêches de barbus. Ils considèrent leurs auditeurs comme des Bédouins demeurés, ce qui est faux dans la majorité des cas. Mais qui touche malheureusement quelques individus et les prépare au "djihad".

   Plus on enfonce les jeunes musulmans dans une pratique et une croyance qui les sépare "radicalement" de leurs concitoyens non musulmans ou musulmans devenus "mécréants", plus on les prépare à rejeter leurs concitoyens non musulmans, et - au-delà - à les éliminer.  Tapez "islam musique haram" sur Google, et vous aurez, avec Youtube,  tout un  défilé de prêches, en français, ou soulignés en français, condamnant telle ou telle pratique jugée "haram". Tous ces interdits n'existent que parce que c'est interdit. En faisant appel à une autorité divine - donc incontestable (si l'on croit que celui qui les proclame porte la parole divine) - on anesthésie la capacité de jugement de ceux à qui on s'adresse . Plusieurs fois, j'ai trouvé cet argument : N'essayez pas de comprendre, puisque c'est Dieu qui le dit. Le but des interdits sans justification est de posséder la conscience de celui à qui on s'adresse, de le mettre en condition et de le soumettre à une volonté de domination. C'est une technique bien connue à l'armée. On soumet le soldat à des tâches absurdes pour le conditionner à exécuter les ordres quelconques sans rechigner. Quelqu'un qu'on oblige à faire quelque chose sans comprendre pourra être soumis à des exigences plus dramatiques, comme de tuer, d'égorger, de faire souffrir. Bien sûr, tous les croyants ne subiront pas ces extrémités, mais une religion qui impose des obligations absurdes ou irrationnelles est un bon terrain pour  la réalisation de projets criminels.  L'accaparement d'une parole divine est une véritable arnaque, puisqu'on sait que Dieu ne la contestera pas. Tout au plus, les "savants" chercheront dans des textes anciens à justifier ou à contredire les interdictions (haram) formulées par tel ou tel prédicateur. Le but évident, c'est de désolidariser le jeune musulman de ses petits copains français "d'origine". C'est plus qu'une opposition de culture, c'est une tentative de fracture dans la société républicaine.

   Le but des islamistes dit "radicaux", avec à leur tête un pseudo État islamique et quelques autres mouvances de type Alquaïda, Boko haram, c'est de renouveler l'exploit de Mahomet dans la conquête du monde. L'État islamique institue un califat, une organisation administrative, juridique, copie du califat créé après la mort du prophète et sur les bases territoriales conquises en Irak et en Syrie. Les gens qui sont sur cet "Etat" doivent appliquer  les règles totalitaires  du califat. On peut se demander quel but poursuivent ces nouveaux tyrans. Est-ce simplement pour faire appliquer une mode vestimentaire ou alimentaire censée être du goût d'Allah ? Certainement pas. Il faut en effet bien comprendre quelles étaient les motivations de Mahomet et de ses successeurs, motivations que l'on retrouve chez les nouveaux islamistes.

   La création d'un califat, inspiré des premiers temps de l'islam, a le mérite de mettre en lumière les fondements mêmes de l'islam. Et cela pourrait provoquer une réaction salutaire chez les musulmans eux-mêmes, en leur faisant accomplir une critique historique.

   Si l’islamisme, qui se veut être la voix du « vrai » islam, a une action convaincante auprès d’une minorité de gens, il joue – au contraire – un rôle important dans la diffusion de l’athéisme auprès de la majorité de la population.    

   Car il donne de Dieu l’image d’un tyran, affecté des pires tendances des primates humains : cruauté, sexisme, racisme, favorisant d’abord la sexualité mâle. Comment croire en l’existence d’un tel Dieu, terriblement, monstrueusement humain ...et mâle ?

Vers une « révolution spirituelle la plus complète » de l’Islam. Des raisons d’espérer ?

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   Des voix s’élèvent, encore trop rares, telle celle d’Abdennour Bidar, pour une réforme en profondeur de l’Islam.

  Un couple de policiers est assassiné à Mantes-la-Jolie, en juin 2016. La communauté musulmane organise une marche blanche pour manifester leur opposition à la violence et au crime.

   Malgré le peu de retentissement de ces paroles et de ces actions, on peut espérer qu’une élite et que des voix s’élèvent pour favoriser la fraternité dans la société, en France d’abord, et au-delà ensuite.

   Nous aurons sans doute l’occasion de développer ce thème dans le prochain article

 

Citations du texte

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[1] https://islamqa.info/fr/14033

    En parcourant ce site, on aura une bonne idée du degré d'endoctrinement et de décervelage pratiqué sur le croyant. Un croyant est quelqu'un qui peut croire n'importe quoi asséné par une autorité autoproclamée.

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[2] On trouvera le récit stupéfiant et révoltant d'un viol accompagné de prières et de références au Coran. dans un reportage du New York Times du 13 août 2015. http://www.rtbf.be/info/monde/detail_l-etat-islamique-et-la-theologie-du-viol-l-enquete-edifiante-du-new-york-times?id=9053890

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[3] https://www.youtube.com/watch?v=ZM8Ip505cnM - Youtube est une source inépuisable d'informations sur les intentions des islamistes.

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[4] Il semble que Salman Rushdie aie été condamné plus pour son apostasie que pour son live "Les versets sataniques", dont le contenu ne m'a pas particulièrement semblé blasphématoire.

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[5] http://www.leader.ir/ar/book/13?sn=6910. La traduction automatique par Google étant peu claire, j'ai utilisé celle du site www.postedeveille. On peut toujours soupçonner d'islamophobie ceux qui publient de telles horreurs

http://www.postedeveille.ca/2014/02/iran-fatwa-pedophile-de-khomeini-sur-le-site-du-guide-supreme-ali-khamenei.html

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Le 16  février  2017

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