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Extraordinaires richesses du Vatican

Un problème moral pour les successeurs des papes de la Renaissance ?

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L’actuel pape François n’a pas créé le Vatican.

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 Il hérite à la fois des dogmes et des richesses qui se sont accumulées au cours des siècles. C’est incontestablement un homme de dialogue, soucieux de l’accueil des migrants, de l’intégration des pauvres. Mais le palais dans lequel il vit chaque jour est le fruit de la spoliation des pauvres, dans une gigantesque arnaque, peut-être le plus grosse arnaque de tous les temps, la vente des Indulgences, pratiquée par des papes peu scrupuleux, particulièrement  Alexandre VI et Jules II. On vendait des « indulgences », c’est-à-dire la rémission des peines temporelles encourues en raison d’un péché. Ces indulgences s’exprimaient en jours d’indulgences. Et on a glissé progressivement vers une autre interprétation. Les péchés valaient à son auteur, après sa mort, une peine exprimée en jours de purgatoire. L’indulgence accordée et vendue par le pape permettait de raccourcir le temps du purgatoire.

Alors, s’est créée l’une des premières banques. On achetait des paquets d’indulgences, qui étaient revendues dans toute l’Europe. L’histoire de cette gigantesque magouille est complexe et fait intervenir de nombreuses personnalités : évêques, prêtres, moines, princes.

Vatican II a dénoncé cette pratique. Mais curieusement, jusqu’à nos jours, et dans certaines occasions, les papes « accordent » encore des indulgences, qui ne sont plus payantes. Les papes auraient-ils gardé un pouvoir sur le fonctionnement du purgatoire ?

Il n’en reste pas moins que les fabuleuses et merveilleuses richesses du Vatican sont bien là, fruits d’une malhonnêteté rarement dépassée dans l’Histoire.

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Que faut-il en faire ?

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